Ouverture de la conscience

de l’humanité

 

Image associée

 
 


Déesses ou fausses déesses ?

 

Ouverture de la conscience de l’humanité

 

 

 

Photo de Lucie Gagnon.

 

Qui sont ces femmes ayant le don d’entraîner les hommes en contact avec leurs blessures, leurs souffrances, leurs émotions, leur masculinité et leur sensibilité ?

 

En contre partie, qui sont ces femmes capables de faire sentir un homme viril sans vouloir le changer ni le mettre à leur main ? En existe-t-il une seule ? Si oui, est-elle d’une si grande beauté ?

 

De plus, existe-t-il une différence entre « vouloir changer un homme », « vouloir se faire respecter » et « faire respecter ses limites » ?

 

 

Questions énigmatiques…

 

 

Les réponses sont dans notre champ de vision.

Il suffit d’ouvrir nos yeux pour voir que nous voulons parfois ne rien voir !

 

La déesse intérieure est un terme qui provient de la psychanalyse.

Seul un homme qui découvre son dieu (et non Dieu) intérieur peut la reconnaître.

C'est ça, le concept d'âme sœur... la rencontre de soi-même avant de rencontrer l'autre.

Le contraire est impossible.

 

 

Les déesses sont à nos yeux, des femmes qui représentent les stéréotypes de pensées sociaux, particulièrement en  ce qui concerne la beauté et l'esthétique. Nous pourrions appliquer le même schéma de pensées pour les hommes dieux qui éveillent la féminité d’une femme jusque dans le fond de ses tripes. Il y a là une attrape nigaude de taille. Un piège dans lequel plusieurs d’entre-nous tombent : « Un piège à croyance

 

Ces femmes qualifiées de déesses par une certaine « clientèle » masculine, mignonnes et féminines dans toutes les fibres de leur corps, sont-elles toujours en contact avec leur vérité profonde? Quel rôle jouent-elles vraiment dans la société? En tout cas, celui que la société leur attribue actuellement, elles ont de la difficulté à l’assumer, car elles sont adorées pour leur beauté, non pour ce qu’elles sont vraiment. Plusieurs d’entre-elles vivent un grand vide intérieur. Elles veulent tous, sans exception, être aimées pour « tout » ce qu’elles sont, mais en retour, on les aime comme un objet sexuel, comme un objet de désir, comme un privilège d’avoir obtenu le trophée mérité. Et pourquoi sont-elles attirées par ce type d’homme? Parce qu’en leur présence, elles se sentent très attirantes et très féminines. Elles vibrent! Cela est valorisant et leur donne l’impression d’être comblées. Cependant, vibrent-elles à leur diapason? Vibrent-elles de concert avec leur essence (avec leur âme) ?

 

À mon avis, les femmes qui sont belles au-dessus de la moyenne ont une tâche particulière à accomplir : Éveiller la conscience des gens. Leur pouvoir charismatique est-il bien canalisé. Faut-il séduire pour éveiller les gens à choisir le bien? Ou bien, ne faut-il pas plutôt être soi-même et devenir un aimant de bien? Il est possible que ces femmes intègrent leur corps faussement. D’ailleurs, la plupart d’entre-elles ont de la difficulté à s’engager dans un processus amoureux. Elles se découvrent un pouvoir en leur charme et leur beauté. Cette aptitude particulière les rend vulnérables et les entraîne dans des relations houleuses et souffrantes.

 

De plus, Certaines femmes-déesses, tout comme les hommes-dieux, deviennent esclaves de sensations fortes pour se sentir envie. Elles sont souvent avides de perfectionnisme. Elles recherchent leur propre divinité à travers les hommes plutôt qu’en elle-même. En d’autres mots, elles vivent à travers le regard de leur homme ou des hommes, plutôt que d’être ce qu’elles sont réellement, espérant et attendant beaucoup de ce dernier ou de ces derniers, comme on voit souvent dans les blagues sur les femmes : Un homme fort et sensible à la fois, capable de les sauver et de les protéger. Elles recherchent chez l’homme, la sécurité qu’elles possèdent déjà en eux, mais qu’elles ne voient ni ne ressentent. Tout comme elles ne ressentent pas consciemment leur souffrance, se donnant accès à toutes sortes de compulsions, par exemple, la compulsion de se sentir désiré. Certaines d’entre-elles prospectent les « vrais » mâles et se plaisent (ou se valorisent) à devenir des bombes sexuelles.

 

 

Ces femmes déesses ont souvent vécu une relation père-fille troublante, recherchant la divinité à travers le Père, mais déçu de ne pas l’avoir trouver. Le père jaloux, possessif, contrôlant ou absent vis-à-vis ce type de fille, surprotège sa fille, cherche à la contrôler ou encore ne la reconnaît pas dans sa beauté, ses besoins féminin et sa fragilité, ce qui crée un vide affectif énorme qu’elle ne s’avouera pas facilement. Elle devra régler cette relation dysfonctionnelle père-fille dans un cadre thérapeutique terre-à-terre et bien structuré pour connaître un vrai bonheur amoureux en couple.

 

Elles sont peu nombreuses, ces déesses potentielles, à avoir intégré ce rôle et cette fonction de divinité. On les met sur un pied d'est ale, on les idolâtre, on  les exploite, on les voit comme un objet de plaisir ou de désir, c’est alléchant. Toutefois, on sera capable de leur manquer de respect en disant qu’elles sont provocatrices, trop aguichantes, femmes faciles, cochonnes, poupounes, filles de luxe, etc.

 

Plusieurs hommes compulsent avec ces déesses, ces soi-disant tops modèles nord-américains, sud-américains et européens, compulsent en réalité ou virtuellement. Si elles acquiescent au jeu d’idéalisation, s’accordant une fausse valeur de supériorité, elles rechercheront l’amour de façon démesuré ainsi que le dieu convenant à leur standing de vie.

 

Ces femmes sont appelées à devenir autonome et responsable de leur destin, à assumer leur rôle d’éveilleuse de conscience, à faire de leur beauté un art divinatoire, une toile d'amour, un chant transitoire, une prière, bref, à faire naître un printemps nouveau sur la terre. Elles n'ont pas choisi d'être belles au-dessus de la moyenne, c'est un déterminisme. Elles sont nées ainsi. Elles se découvrent généralement un pouvoir, dont plusieurs d'entre-elles se servent pour fuir leurs émotions ou pour essayer d'atteindre leur rêve, leur but, leur projet de vie. Mais à quel prix?

 

 

 

La plupart de ces femmes souffrent beaucoup parce qu'elles sont généralement attirées par des valeurs matérielles, étant elles-mêmes conditionnées par la pression qu'on leur porte. Elles sont souvent attirées par des hommes de gloire et par de fausses sécurités masculines. Elles sont aveuglées par leur propre beauté qu'elles essaient de projeter sur les hommes qui les entourent.

 

La plupart de ces dées­ses souffrent par ce qu'on leur a trop souvent manqué de respect, parce qu’on a abusé d’elles de toutes sortes de façon, par jalousie ou par envie.

 

Nombreux sont les hommes attirés par ces beautés féminines, représentation de leur propre archétype féminin. Ils ne font pas la différence entre la réalité et les fantasmes érotiques de leur inconscient. Ils croient devoir trouver à l'extérieur ce type de satisfaction. Alors qu'en réalité, ces femmes ont pour fonction d'éveiller les hommes à leur propre beauté intérieure. Plusieurs s'en servent pour nourrir leur ego. Possédant ainsi une si belle femme dans leur vie que tous désirs, ils se plaisent à l'idée que celle-ci se donne juste à eux.

 

Dans un mélange d'amour et d'avarice, souvent des hommes contrôlant et possessifs, sans juste milieu, ils sont plus souvent qu'autrement centrés sur leur besoin que sur les besoins de "leur femme". Le vide affectif et la solitude qu'entraîne leur vécu, les portent à se manquer de respect envers elles-mêmes, de toutes sortes de façons, pour se faire aimer des hommes. Mais à quel prix?

 

La plupart de ces belles femmes sont siphonnées par la voracité des gens et peu d'entre-elles connaîtront un vrai bonheur, à moins qu'elle n'en assume concrètement la réalité dans l'amour, dans un vrai amour. Elles connaîtront bien souvent de grands amours, de grandes passions, ces dernières qui seront ravageant et dévorant. La question est : peut-on être belle ou beau et être heureux ? La réponse est oui si elles ou ils sont prêts(es) à en payer le prix, c'est-à-dire casser leur ego jusqu'à en croire qu'elles sont au service d'une force supérieure, d'un créateur, parce qu'il n'y a pas d'hommes actuellement prêt à casser son ego devant une déesse sinon le créateur.

 

 

Alors, pour maintes raisons, ces hommes les ravages ou, au contraire, ce sont elles qui choisissent leurs proies et les ravagent. Plusieurs d'entre-elles, pour fuir la pression sociale, ainsi que celle de leur entourage masculin et féminin, et pour fuir leurs souffrances, compulseront dans l'esthétique et la sexualité. Dans un élan de conscience, elles se projetteront vers une soif d’évolution. (De croissance personnelle) Ou, dans un cri politiquement correct, avec un couple de bons bonhommes pour un temps, elles essaieront de trouver du bonheur, ce qui ne durera point. De plus, un bon nombre d'entre-elles se cultivent et s'intellectualisent beaucoup, un peu comme pour démontrer qu'elles ne sont pas juste belles.

 

                        

 

Femme Mosu guidant son cheval

 

La seule façon de se déconditionner étant de remonter à la source de leurs souffrances, de vivre et laisser passer leurs émotions sans s'y accrocher, et d'apprendre à se respecter et à se faire respecter, non dans un discours féministe qui sert plus souvent qu'autre chose la cause des hommes, mais dans une responsabilisation totale et authentique d'elle-même.

 

Comment pourrait-on leur reprocher de se servir de leur pouvoir esthétique et sexuel pour se faire aimer et réussir leur vie? Belles, elles ont l'embarra du choix. Étant dans leur situation, serions-nous différents? Mais vu sur un plan inconscient et spirituel, ont-elles vraiment l'embarra du choix? Réussissent-elles à trouver l'homme de leur rêve ou trouvent-elles continuellement des vampires, des ombres et des âmes tourmentées, des mirages collectifs? Ont-elles vraiment l'embarra du choix en matière de trouver un homme qui s'assume dans la totalité de son être?

 

 

Pourquoi se contente-t-elle souvent de si peu de reconnaissance et d’appréciation pour quelques doses de dépendance ? Le matériel est important, certes, puisque nous vivons dans un corps matériel, mais la plus importante de nos réalisations ne serait-elle pas de construire un sens à notre vie dans l'amour de soi ?  La façon dont nous aimons et traitons les autres est la façon dont nous nous traitons nous-mêmes. Dans l’Évangile selon Thomas, Jésus disait: «Le Royaume de Dieu est en nous et tout autour de nous. Pas dans l'intellect, pas dans la beauté, ni dans la richesse ni le bois, ni la pierre.»… C’est une vérité de La Pallisse.

 

                                                                                                                                                                                                                                  Crystal

 

Réflexion à poursuivre....... Donnez-moi vos commentaires :  

 

 

 

         Accueil    

         Autres écrivains    

         Désinformation    

         Écrits personnels    

        * Environnement, inconscience et corruption    

        * Géopolitique internationale    

        * Magouilles politiques et économique

        * Meilleurs sites d’informations

         Musiques et chansons préférées

         Paranormal   

         Pensées du jour    

        * Pétrole et oligarchies mafieuses    

         Photos

         Présentation du site    

         Psychologie    

         Spiritualité    

        * Vraie histoire du Québec    

        * Vraie histoire de l’humanité    

         Courriel