Écriture automatique -
Atelier
Méditation
guidée (40 minutes) - Regarde en toi - François Lemay
https://www.youtube.com/watch?v=XFVOCmVafgE
Pour une méditation longue, chez toi à la maison, je t’invite à
utiliser cette musique de fond très intériorisante :
https://www.youtube.com/watch?v=yYNBMrHfTo0
Atelier
d’écriture automatique (intuitive)
1. Chanson Ubuntu (5 minutes) : https://www.youtube.com/watch?v=stUozvZK-lg
2. Méditation dans le flow anxiété et
performance – François Lemay (11 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=kNOJdZkTzcU
3. Lecture explicative de l’écriture
automatique, p. 8, suivi de la lecture des paragraphes 1 et 2 de la première
page. (3 minutes)
4. Période d’écriture automatique (40
minutes) guidée spontanément par moi. (Guidage Automatique)
Durant 40 minutes, laisse le contrôle total
à cette partie saine de toi qu’on appelle l’enfant
intérieur.
Tu es totalement libre et souverain de ta vie…
https://www.youtube.com/watch?v=JhLgDfTfk84
5. Fermeture de l’atelier
d’écriture : François Lemay - L’amour de soi (facultatif,
dépendamment du temps)
Et si l'amour de soi était la réponse à tout ? Et si l'amour était le
vrai soi ? Pas les illusions. Je suis totalement souverain
de ma personne.
https://www.youtube.com/watch?v=GtNpPZDZvco&t=34s
6. Pause en silence (10 minutes)
7. Avant la discussion : Daniel
Bélanger – Revivre (4 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=rKGLb7Mkh-w
8. Partage (45 minutes)
9. Fermeture debout en cercle : Au
bord du temps – Richard Séguin (4 minutes)
https://www.youtube.com/watch?v=V_pQMi9iXGU
Un p’tit coup de danse extatique (danse intuitive) !
Comment lâcher prise avec la danse intuitive ?
Quelques rythmes… Lâchons-nous lousse !
Un super mixte à écouter… Laissons aller les chants les uns
après les autres….
Musique et chants
sacrés avec Karine Ste-Marie
J’ÉCOUTE MON ENFANT INTÉRIEUR
P.S. Je ne retrouve plus l’auteur de ce texte. Il n’a pas été
écrit par moi.
L'écriture
automatique (intuitive) est un mode d'expression dans lequel n'interviennent ni
la conscience ni la volonté. Ce processus a au moins cinq champs d'application
différents : littérature, psychologie, peinture, parapsychologie ou autohypnose.
Il laisse notre corps s’exprimer librement sans entrave. Après sa mise en
application, il est très intéressant d’entendre et comprendre les messages de
la vie à travers notre corps. C’est une preuve irréfutable d’amour de soi !
En chaque personnalité humaine réside un enfant.
Tout le monde se souvient de ce qu’a été son enfance, de la sensation de liberté
intérieure de l’enfant et de sa façon directe d’expérimenter la vie. Cet
enfant intérieur est un sage. Il se sent solidaire de tout ce qui vit. Il
sait, à l’évidence, ce qu’est l’amour. Cet enfant intérieur est cette partie de
nous qui vit dans le présent et qui est composé de beaucoup de qualités
importantes qui sont utiles et nécessaires à notre croissance personnelle.
En chaque adulte sommeille un enfant, un enfant éternel,
quelque chose qui est toujours en devenir, qui n’est jamais complet et qui
exige une attention, une éducation et des soins constants. C’est la partie de
la personnalité humaine qui demande à être développée et à devenir entière. C. G. Jung |
Cet enfant intérieur est refoulé à mesure que nous
devenons adultes.
L’enfant intérieur est une partie de nous souvent
ignorée, écrasée parce que qualifiée d’irraisonnable, d’immature et de faible.
Et pourtant c’est cette partie de nous qui a le pouvoir de nous faire sentir
bien ou mal. Pour plusieurs raisons nous avons appris à refouler nos émotions,
principaux moteurs de l’enfant intérieur. L’enfant intérieur est en rapport étroit
avec nos émotions, nos instincts, nos besoins essentiels. Laissons-le
s’exprimer durant les 40 prochaines minutes.
L’enfant intérieur est loyal. Il a besoin d’être
entendu car il sait ce qui est bon pour nous. Il nous parle par le biais de nos
rêves. Lorsqu’on rêve d’un enfant spécial il s’agit de notre enfant intérieur.
Il y a un enfant qui rit et qui joue dans le cœur
de chaque adulte. Faire revivre l’enfant en soi réactive notre état le plus
authentique, le plus aimant et le plus créatif que nous avons tous un jour expérimenté.
Il existe en chacun un enfant doué, créatif, plein de joie, de confiance et de
spontanéité. En le contactant à nouveau nous puisons dans notre génie naturel,
nos incroyables ressources intérieures.
L’être humain ne peut pas guérir ce qu’il ne
ressent pas. Cela implique d’éprouver le chagrin de notre enfant intérieur, sa
souffrance légitime oubliée depuis longtemps, non pas pour s’y complaire mais
pour le libérer. L’extériorisation de nos sentiments refoulés nous permet de
prendre le parti de notre enfant intérieur et de reconnaître que son ressenti
est digne de respect. L’un des meilleurs exemples : la colère. La colère révèle
notre capacité de dire stop face à une situation intolérable. Tant que nous
n’assumons pas la juste colère de notre enfant intérieur nous la retournons
contre nous-mêmes ou nous la dirigeons contre d’autres personnes dans des
situations inappropriées.
Lorsque nous étions enfant certains de nos besoins
n’on pas été entendus ni comblés laissant un
sentiment de manque qui, à l’âge adulte, peut se transformer en vide
insupportable. Les compulsions (nourriture, cigarettes, boissons, télévision,
internet, etc) témoignent de notre incapacité à
contacter nos besoins inassouvis. C’est par une présence attentive à soi et à
son enfant intérieur que nous pouvons répondre à nos besoins essentiels. Ce
sont souvent des actes simples de la vie quotidienne (prendre un bain, jouer
avec un animal, se promener, se faire masser, etc. )
qui, par la réelle attention que nous nous portons font que notre enfant intérieur
se sent enfin écouté et reconnu.
Enfant, nous avons aussi subi des interdictions
injustes. Notre enfant intérieur attend que nous lui accordions de nouvelles
autorisations. Ainsi nous assumons notre rôle guérisseur de bon parent pour
soi. Se donner de nouvelles autorisations de vie est l’une des clefs de la réconciliation,
c’est recréer un contact clair et sain avec soi où l’amour n’est plus
conditionnel.
Il est prouvé que le manque de soins et les
traumatismes de l’enfance endommagent certaines connexions neuronales de l’hémisphère
droit du cerveau. Jusqu’à l’âge de six ou sept ans l’enfant utilise davantage
les qualités de cet hémisphère dont le fonctionnement est non linéaire,
intuitif, spontané et holistique. La métaphore de l’enfant intérieur est une
image de l’hémisphère droit du cerveau c’est pourquoi la guérison passe par la
reconnexion avec celui-ci.
La ressource la plus endommagée et la moins
exploitée de notre cerveau droit est le jeu. Tous les enfants
aiment jouer. La plupart des adultes ne savent plus jouer. Pourtant c’est en
jouant que l’on devient plus créatif et que l’on utilise notre personnalité
toute entière. Le jeu est présent dans tout acte lorsque ce dernier est pur,
libre et spontané. Il est l’essence même de la créativité, l’art d’inspirer sa
vie en percevant toutes les possibilités pour s’accomplir.
L’enfant intérieur est un MOI vivant en nous qui
aspire à être aimé et accepté. Il est porteur de toutes nos peurs, de tous nos
sentiments d’inadaptation, de notre honte et de notre culpabilité, de notre
besoin d’être accepté, du respect de l’autorité, de nos sentiments
d’impuissance ainsi que de notre spontanéité, de notre capacité à s’émerveiller,
de notre joie de vivre.
Lorsque vous vivez une situation de conflit c’est
votre enfant intérieur qui veut être remarqué. Il veut que vous sachiez qu’il
existe afin que vous puissiez le guérir.
Lorsque vous travaillez vraiment avec l’enfant intérieur,
vous travaillez aux racines des problèmes ainsi qu’avec vos parents intérieurs.
Lorsque vous étiez enfant, en tant qu’enfant, vos
parents étaient les dieux de votre enfance. Votre enfant intérieur a imité vos
parents, il a copié leurs comportements, leurs attitudes. Notre enfant intérieur
a enregistré des sentiments et des émotions autant négatifs que positifs. Ces
formes d’expression enregistrées inconsciemment sont revécues tout au long de
notre vie selon le même mode par lequel ces émotions ont été expérimentées dans
notre enfance c’est-à-dire de 0 à 5 ans. C’est ce qui explique les patterns que
l’on reproduit.
NOTRE BLESSURE
La prise de conscience de notre
blessure nous permet de se remettre en contact avec notre enfant intérieur
abandonné. Notre blessure intérieure nous confirme dans notre nature d’être
humain. La souffrance causée par notre blessure intérieure nous confirme que
nous sommes une personne unique et humaine.
LES CINQ BLESSURES (Référence : Les 5 blessures qui empêchent d’être
soi-même, Lise Bourbeau)
Les cinq blessures sont :
le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison, l’injustice. Avant notre
naissance nous choisissons la blessure que nous venons régler.
Le rejet est une blessure très
profonde car celui qui en souffre se sent rejeté dans son être et surtout dans
son droit d’exister. L’âme qui revient sur Terre dans le but de régler cette
blessure vit du rejet dès la naissance et même avant sa naissance.
La blessure vécue dans le cas de
l’abandon se situe davantage au niveau du avoir et du faire plutôt qu’au niveau
du être. Ex. la mère qui s’occupe d’un nouveau bébé.
L’âme qui vient régler la
blessure d’humiliation s’attirera un ou des parents qui l’humilieront. Cette
blessure est surtout rattachée au monde physique celui du avoir et du faire.
Elle s’éveille au moment du développement des fonctions du corps physique, soit
entre l’âge de un et trois ans.
La blessure de la trahison s’éveille
vers l’âge de deux et quatre ans, au moment où l’énergie sexuelle se développe.
Cette blessure est vécue avec le parent du sexe opposé.
La justice, c’est l’appréciation,
la reconnaissance et le respect des droits et du mérite de chacun. La blessure
d’injustice s’éveille au moment du développement de l’individualité de
l’enfant, c’est-à-dire entre l’âge de trois et cinq ans environ, au moment où
il devient conscient qu’il est un humain, une entité à part entière avec ses
différences.
JOUER
L’enfant ou l’adulte qui joue
exprime le plaisir d’exister. Peu de personnes savent jouer. Peu de personnes
savent ce que jouer signifie. Nous sommes très souvent trop occupés ou préoccupés
par toutes sortes de choses et nous oublions l’importance de jouer.
Pour un enfant, la seule activité
sérieuse et la seule activité importante, c’est de jouer.
LE RETOUR À L’ENFANCE
‘’Si vous ne devenez pas comme
les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux’’ (Matthieu,
18, 3)
Cet état de conscience c’est
d’avoir une confiance totale (celle du petit enfant envers ses parents) faite
du sentiment d’une entière dépendance envers une autorité ressentie comme
omnisciente, omnipotente, aimante, bénéfique et désintéressée. Une confiance
totale dans les mécanismes inconscients à l’œuvre au plus profond de l’être
humain, bien au-delà de tout ce qui peut être dit, pensé, ressenti ou même
imaginé. Une confiance totale, une FOI dans l’aptitude de ces mécanismes à
assurer le contrôle et la régulation de l’ensemble du psychisme, à garantir sa
croissance évolutive. Avoir une confiance créatrice.
Le retour à l’enfance c’est une
totale absence de souci et d’anxiété, une capacité de vivre innocemment dans le
présent, dans le ici et maintenant.
Le retour à l’enfance c’est une
simplification de l’esprit, qui se traduit par la spontanéité, la fraîcheur, la
joie de l’innocence et de la simplicité intérieure retrouvées et par une
aptitude à entrer en contact direct et immédiat avec le monde des sensations et
des émotions. ÊTRE DANS SON AUTHENTICITÉ.
Notre enfant intérieur, l’enfant
en dedans de nous est un ENFANT ÉTERNEL toujours en état de devenir, jamais
terminé, qui a besoin constamment de soins, d’attention et d’éducation.
Notre
enfant intérieur est : · Notre
potentiel d’énergie et nos ressources. · Explorateur,
il veut savoir et comprendre. · Source
de motivation, satisfaction ou de remords et de peines. · Réclame
la satisfaction de nos attentes et de nos besoins. · Peut
se rebeller. · Peut être
une source de joie, de créativité, de transcendance. |
Lorsqu’une personne est sous
l’emprise des sentiments nous disons que son Enfant a pris le dessus; lorsque
sa colère domine sa raison nous disons que son Enfant domine.
Dans l’Enfant résident la créativité,
la curiosité, le désir d’explorer et de savoir, le besoin de toucher, de sentir
et d’expérimenter.
Tout être humain porte en soi un
petit garçon ou une petite fille qui pense, agit, parle, s’émeut et réagit
exactement de la même façon que lorsqu’il ou elle était un enfant d’un certain âge.
Cet état du moi est appelé l’Enfant. L’Enfant n’est pas considéré comme puéril
ni manquant de maturité mais comme enfantin c’est-à-dire un enfant d’un certain
âge. Il est essentiel pour chacun de nous de comprendre notre Enfant parce que
c’est la partie LA PLUS RICHE DE NOTRE PERSONNALITÉ.
C’est par le biais de notre ENFANT INTÉRIEUR que nous somme le plus
nous-même.
L’Enfant possède une importante énergie
dans sa personnalité; toute la vitalité, la créativité, la joie de vivre, la
simplicité.
Les données du vu, entendu,
senti et compris sont appelées Enfant.
Les formes d’expression de
l’enfant sont l’impulsivité, la dépendance, l’entêtement aussi bien que la
spontanéité, la curiosité, la créativité, le jeu, ect.
POUR L’ENFANT LE MONDE EST FLAMBANT NEUF À CHAQUE MOMENT DE CHAQUE JOUR.
La forme de pensée de l’enfant
est magique, égocentrique et illogique. L’illogisme est un mode de
connaissance : c’est même le mode de connaissance le plus familier pour
notre âme. La pensée illogique est
poétique (elle sous-tend l’imagination et l’émotion).
L’enfant adore chanter et
danser, tout comme il raffole des histoires et des contes de fées. Les récits,
les chansons, la danse et la poésie constituent de véritables modes de
connaissance.
Les besoins inhérents au développement
durant la prime enfance resurgissent sous différentes formes durant toute notre
vie, notamment à chaque fois que nous nous lançons dans une nouvelle expérience.
Sitôt que nous nous sentons en sécurité et que nous faisons confiance à notre
milieu, l’Enfant en nous veut explorer et expérimenter autre chose par lui-même.
Nos propres enfants font resurgir nos besoins infantiles à mesure qu’ils
traversent les différents stades de leur développement. Parvenus à l’âge adulte
nous sommes heureusement capables de combler nos besoins en rapport avec chacun
de ces stades. En tant qu’adulte, je peux apprendre à aller chercher exactement
ce dont j’ai besoin. Je suis capable d’être bienveillant à mon égard et de me
traiter avec une bonté et un respect affectueux.
Le besoin de retrouver l’Enfant
Intérieur est inhérent au cheminement vers la complétude qu’accomplissent tous
les êtres humains. Étant donné que personne n’a joui d’une enfance parfaite,
chacun porte en soi les problèmes inconscients et non résolus de son histoire
familiale.
Paroles
des deux chansons
Revivre
– Daniel Bélanger
Dans
un miroir
Trop
grand pour moi
J’ai
vu mes yeux
Baigner
dans du liquide
Je
n’ai pas cru d’abord
En
mon chagrin
D’autant
que je ne pleure
Plus
jamais
Mais
en fouillant
Juste
un peu plus
J’ai
trouvé des motifs
Bien
assortis
Et
des raisons plus qu’intéressantes
Pour
comprendre ce qui m’arrive
C’est
qu’il ne m’arrive plus rien
Tous
les jours de mon âge m’ont endormi
Jamais
plus rien
Plus
de voyages, presque plus d’amis
C’est
très restreint
En
termes de loisirs et de plaisirs
Alors
dans ce miroir
Trop
grand pour moi
J’ai
vu ma bouche
Dessiner
un sourire
Je
n’ai surtout pas cru
Et
ma deuxième chance
D’autant
que je ne gagne
Jamais
à rien
Mais
en y songeant
Juste
un peu plus
Et
sachant que ça fera mal
J’ai
décidé de changer
Que
peut-il se produire de pire
Que
rien ?
Et
je crois que tout arrive
Que
tout vient
À
qui sait mourir
Pour
mieux revivre
Ce
n’est pas sans peine
Je
crois qu’on revient mieux
Après
le deuil de soi-même
Que
tout vient
À
qui sait mourir
Pour
mieux revivre
Ce
n’est pas sans peine
Je
crois qu’on revient mieux
Après
le départ de soi-même
Que
tout vient
À
qui sait mourir
Pour
mieux revivre
Elle me demande
Qui sont ces gens sur le chemin
Seulement un sac dedans leurs mains
Elle me demande
Qui sont ces gens qui vont à pied
Tout près, trop près des barbelés
Et moi,
je cherche ce qu’on peut dire
Comment répondre à ses dix ans
Qui veulent comprendre les jours troués
Marées d’humains qui n’ont plus rien
Je lui dirai qu’ils sont partis
Loin de la guerre qu’ils vont chercher
Un coin de terre avec ce qu’il faut pour guérir
Je lui
dirai "vois dans leurs yeux
Ce grand besoin de liberté
Ensemble, ils parlent d’avenir
Malgré le souv’nir du passé"
Au bord
du temps
La vie, les mots
Rêvent toujours
Aux horizons nouveaux
Comment
lui dire la déchirure
Et la poussière
Le ciel qui s’ouvre et qui s’écrase dans la rue
Comment
lui dire
Qu’ils ont la nuit pour seul répit
Quand ils finissent par s’endormir
Et moi,
je cherche ce qu’on peut dire
Comment répondre à ses dix ans
Comment comprendre
Ces pauv’ radeaux du désespoir
Je lui
dirai qu’ils sont partis
Qu’ils ont dû quitter leurs maisons
S’éloigner de la terre qui gronde
Très loin de la folie du monde
Je lui
dirai qu’ils ont gardé
Les larmes tombées sur la peau
L’amitié qui bat, qui respire
Le bleu et le vol de l’oiseau
Au bord
du temps
La vie, les mots
Rêvent toujours
Aux horizons nouveaux
Se
réveiller dans la clarté
Le cœur rempli de lendemains
Et retrouver l’espoir de vivre
Les mains tournées vers la beauté
Au bord
du temps
La vie, les mots
Rêvent toujours
Au bord
du temps
La vie, les mots
Rêvent toujours
Aux horizons nouveaux
Aux horizons nouveaux